Le Ciel de jour en jour se met à ressembler
aux peuplades apeurées qu’il regarde de haut
à ces humains hagards qui bientôt vont trembler
sous le feu du soleil en suant sang et eau.
Les Hommes ont allumé le feu qui les dévore
l’eau partout s’évapore et le désert avance
le chaudron noir des villes à gros bouillons sonores
mijote en attendant que l’éruption commence.
Pourtant dans mon jardin les oiseaux chantent encore
les rosiers sont en fleurs il a plu l’autre jour
je n’entends que de loin les prophètes de mort
psalmodier lancinants que demain c’est mon tour.
Le Ciel de jour en jour se met à ressembler
aux peuplades apeurées qu’il regarde de haut
à ces humains hagards qui bientôt vont trembler
sous le feu du soleil en suant sang et eau.
Les Hommes ont allumé le feu qui les dévore
l’eau partout s’évapore et le désert avance
le chaudron noir des villes à gros bouillons sonores
mijote en attendant que l’éruption commence.
Pourtant dans mon jardin les oiseaux chantent encore
les rosiers sont en fleurs il a plu l’autre jour
je n’entends que de loin les prophètes de mort
psalmodier lancinants que demain c’est mon tour.
Dernière mise à jour le 4 jours par André
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