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Alhambra.

Les au ont éteint la
flétri l'orgueil des ocres et l'éclat des verdures
le a concédé après des mois amers
d'aridité sans fin son sur les ramures.

Les fontaines si fières ont beau couler encore
elles baissent les yeux sur leurs bassins ridés
timides tout-à-coup sous la qui dévore
la hautaine au cœur des jardins inondés.

Et les dentelles maures aux muets bavardages
semblent soupirer d'aise aux caresses humides
d'un soudain forci qui maquille le visage
que présente aux curieux le vieux palais nasride.

Les au jardin ont éteint la lumière
flétri l'orgueil des ocres et l'éclat des verdures
le a concédé après des mois amers
d'aridité sans fin son eau sur les ramures.

Les fontaines si fières ont beau couler encore
elles baissent les yeux sur leurs bassins ridés
timides tout-à-coup sous la pluie qui dévore
la hautaine au cœur des jardins inondés.

Et les dentelles maures aux muets bavardages
semblent soupirer d'aise aux caresses humides
d'un vent soudain forci qui maquille le visage
que présente aux curieux le vieux palais nasride.

Dernière mise à jour le 2 mois par André

Posted in Poésie
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