Il se sent à l’étroit mon pays de frontières …
On les savait cupides, cyniques, sans scrupules …
Les amarres larguées nous irons dans le vent …
Une chanson musant aux chemins tortueux …
Que savons-nous du vent ?
L’encre bleue de nos noms …
L’horizon s’enchevêtre et le chemin se perd
Le printemps n’a fait que passer …
Mon nouveau recueil de poèmes …
La houle en valse lente étourdit ris et focs
Attirés par l’odeur du sang,
les charognards sont de sortie …
Voyageurs damnés naufragés errants …
On se tourne volontiers vers un passé rêvé, fantasmé, sublimé …
La Semois paressait de méandre en méandre …
« Que vous arrive-t-il donc ? En voilà des manières! »
Brouillon jamais remis au net …
un député européen aussi indigné que moi …
Nous étions passagers
de l’air pur et du vent …
en route dans le vent, le froid et la neige …
en pointillé des air d’enfants, des chants d’oiseaux …