Le train du lundi peu à peu s’emplit …
Je suis l’affiche délavée d’un spectacle …
Le temps n’est plus un air en tourbillons m’emporte …
Ils sont quatre, afghans, ados de 15 à 17 ans. Ils me racontent leur voyage …
Que n’a-t-on entendu comme commentaires péremptoires à propos de ces hommes fuyant seuls, abandonnant femmes et enfants …
Gens de la Lune et gens sans terre …
Tant de si de pourquoi …
On dit que l’eau sous les ponts coule …
Libres nous parlerons …
Insectes dérisoires aux arrogants terriers
La vie rêvée des temps d’enfance,
étés de framboises …
Monsieur le comte Lippens est le bourgmestre de Knokke …
Jour familier venez prenez-moi par la main …
Le vent se lève sur les saisons frivoles …
Les liens pourtant avaient résisté aux tempêtes …
Les couleurs des pétales aux douceurs veloutées …
Faut-il dire au soleil : « Brille ! »
pour qu’il brille ?
ton jeu me fascine et m’endort …
Au vent vont les étoiles
A veces me llegan ganas …