J’oublierai leurs visages
et je dirai leurs noms
aux oiseaux de passage
que nous abandonnons
aux sibyllins présages
de pythies de renom.
Leur foule n’est qu’un cri
venu du fond des âges,
leur sang noir a suri
mais la douleur surnage
dans leurs restes meurtris
depuis trop de carnages.
De tous les horizons
trop de hordes sauvages
depuis trop de saisons
font du monde un naufrage.
J’oublierai vos visages
et j’oublierai vos noms,
ne reste qu’une page
que nous abandonnons
aux sibyllins présages
de pythies de renom.
J’oublierai leurs visages
et je dirai leurs noms
aux oiseaux de passage
que nous abandonnons
aux sibyllins présages
de pythies de renom.
Leur foule n’est qu’un cri
venu du fond des âges,
leur sang noir a suri
mais la douleur surnage
dans leurs restes meurtris
depuis trop de carnages.
De tous les horizons
trop de hordes sauvages
depuis trop de saisons
font du monde un naufrage.
J’oublierai vos visages
et j’oublierai vos noms,
ne reste qu’une page
que nous abandonnons
aux sibyllins présages
de pythies de renom.
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