Peut-être la nuit n’est-elle
que promesse non tenue …
La main calleuse sur la brique,
le regard fixé sur l’aplomb …
Les enfants effrayés qui, de leur bac à sable,
regardent les oiseaux mourir et s’écraser …
À qui sont-ils, ces doigts volant en escadrilles,
fondant sur les claviers pour distiller la haine …
Des pétales de temps
juste sous mes fenêtres …
Voir et se contenter de voir …