Le vrai bonheur c’était hier …
Nous irons par les chemins creux …
Sous son tapis roussi l’herbe est-elle plus verte ?
Valentin, gai comme un pinson …
Nous étions passagers
de l’air pur et du vent …
Le ciel du soir déchire ses haillons …
Les choses simples quelquefois nous vont à l’âme
Les vieux tilleuls dressés
regardent en bruissant
les écoliers pressés …
… Quel que soit le temps que ça prenne
.
D’autres, depuis longtemps,
ont répété
.
Depuis longtemps figés,
paysans rudes,
Un sourire hésitant venu d’on ne sait où vient éclairer timide un visage fermé …
.
Au petit jour, les amoureux
seuls et perdus,
pleurent toujours des temps heureux
La forêt ce soir-là te fut-elle accueillante ?