La musique et le monde marchent au même temps …
Dernier témoin des jours enfuis, la rose désormais fanée ouvre les portes de la nuit
Quand tombe la nuit, bas les masques !
Je marche dans le noir …
Quelques pas, sur la terre, laisseront une empreinte fugace …
Naître suffira-t-il, humain fragile, pour exister ?
Étoile dans la nuit …
Le monde a perdu la raison …
Amour aux étranges méandres …
Le soir pleure en silence …
La forêt ce soir-là te fut-elle accueillante ?
Le jour qui paresseux se lève tard …
Embarqué un soir de novembre …
Le train semblait venir d’un univers lointain …
Il a gelé …
Il faut de tout pour faire un monde …
Premiers flocons odeur d’hiver …
La rue a choisi la grisaille …
Dans le brouillard des jours enfuis …
L’équinoxe fatal a surgi sans rien dire …