Dans les jardins perdus d’une enfance de mûres …
ils vont sur les sentiers ombreux vivre le reste de leur âge.
Valentin, gai comme un pinson …
« Que vous arrive-t-il donc ? En voilà des manières! »
Quitter sa torpeur …
« Mais qu’est-ce qu’elle fout encore? »
Les villageois se reconstruisent …
Nous sommes surpris des inquiétudes des gens qui nous ont précédés …
Nous avons l’espoir que demain …
Pour trouver mon tout, venez à l’atelier d’écriture !
La vie est un ballot de paille, et l’allumette, jamais bien loin …
Mon premier, le pou l’est.
La mer, quelle merveilleuse découverte …
Notre paisible village aux limites imprécises …
Voler au secours de l’humanité en danger …
Ah le bel élan ! Voir tous ces gens fraterniser dans la douleur …
Des limbes de l’enfance un banc de brume …
Brouillon jamais remis au net …
Nous les avons connus si fiers …
La terre colle à mes souliers …