Il y a dans l’air frais comme un parfum
de soleil renaissant et d’Italie,
d’avant-saison hâtive, d’hiver défunt,
d’ivresse passagère ou de folie.
Il suffit du pinceau magique d’un rayon
pour repeindre de bleu notre ciel et nos cœurs.
Nous savons pourtant bien le prix que nous payons
ces quelques instants bleus aux relents de liqueur.
L’ivresse passagère nous permet d’espérer
des jours épanouis dans un été propice
à l’insouciance et aux épidermes dorés
dont nous apercevons les factices prémisses.
Il y a dans l’air frais comme un parfum
de soleil renaissant et d’Italie,
d’avant-saison hâtive, d’hiver défunt,
d’ivresse passagère ou de folie.
Il suffit du pinceau magique d’un rayon
pour repeindre de bleu notre ciel et nos cœurs.
Nous savons pourtant bien le prix que nous payons
ces quelques instants bleus aux relents de liqueur.
L’ivresse passagère nous permet d’espérer
des jours épanouis dans un été propice
à l’insouciance et aux épidermes dorés
dont nous apercevons les factices prémisses.
Dernière mise à jour le 1 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
J’espère qu’à mon retour à la maison il y aura un parfum de mimosa ! …
Je l’espère pour toi …