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Chemins.

Bucoliques sentiers, trottoirs urbains
où vont nos pieds, les yeux dans les ,
vous nous acheminez, vifs ou lambins,
l’inconnu de nos derniers voyages.

faisant la nous montrera
les chatoyants coloris des campagnes,
le de la peste et du choléra
et la aux pays de Cocagne.

Aux carrefours, hésitants, nous suivrons
la pente aride ou l’avenue facile
suivant l’attrait qu’auront les environs
et l’ascendant des compagnons d’exil.

Le venu, tous les chemins convergent:
c’est alors que les pèlerins découvrent
que tous sont logés à la même ,
que le même obscur linceul les recouvre.

Bucoliques sentiers, trottoirs urbains
où vont nos pieds, les yeux dans les nuages,
vous nous acheminez, vifs ou lambins,
vers l’inconnu de nos derniers voyages.

Chemin faisant la vie nous montrera
les chatoyants coloris des campagnes,
le noir de la peste et du choléra
et la misère aux pays de Cocagne.

Aux carrefours, hésitants, nous suivrons
la pente aride ou l’avenue facile
suivant l’attrait qu’auront les environs
et l’ascendant des compagnons d’exil.

Le soir venu, tous les chemins convergent:
c’est alors que les pèlerins découvrent
que tous sont logés à la même auberge,
que le même obscur linceul les recouvre.

Dernière mise à jour le 2 semaines par André

Posted in Blog, Poèmes
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