Le jour se lève et le bourg endormi …
Le vrai bonheur c’était hier …
D’une pédale vigoureuse ils partaient …
Ils ne se parlaient pas, se connaissaient à peine …
Les trous dans la tartine sont les pores d’où sourd la gelée d’églantine
Assis l’âme en paix au bord du sommeil
Ne peut-on vraiment pas considérer les pauvres, malheureux, sans abri, réfugiés comme des personnes humaines ?
Entre les lignes, au cahier d’écolier …
Écrire et se laisser guider …
J’eus beau chercher les mots …
L’été, destination soleil!
Le jour meurt et la paix du soir
s’étend sur nous …
De retour sur nos pas anciens …
Chaque jour quelques vers …
Voyageurs damnés naufragés errants …
Un jour viendra …
Les oiseaux étonnés ne savent pas encore s’il faut se remettre à chanter …
Le long ennui des canicules …
Jonas au fond des mers passager du destin
Combien de fois suis-je donc né se demande le monde …