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Musique.

Enlaçant les saisons de notes, la
de Wolfgang, Antonio ou de Jean-Sébastien
donne au des airs d’amours mélancoliques,
à l’hiver la douceur qui berce et qui soutient,
fait de l’ pluvieux une saison magique.

Il n’y a pas d’automne où quelque musicien
ne ponctue de son chant le spectacle or et rouge
de la mort qui parade et joue les magiciens,
faisant croire aux que les grands arbres bougent.

La est une âme et lorsqu’elle se tait
un peu de nous retourne à l’état minéral,
sans elle nous errons comme si les futaies
de leurs grands bras feuillus masquaient notre fanal.

Enlaçant les saisons de notes, la
de Wolfgang, Antonio ou de Jean-Sébastien
donne au des airs d’amours mélancoliques,
à l’hiver la douceur qui berce et qui soutient,
fait de l’ pluvieux une saison magique.

Il n’y a pas d’automne où quelque musicien
ne ponctue de son chant le spectacle or et rouge
de la mort qui parade et joue les magiciens,
faisant croire aux que les grands arbres bougent.

La est une âme et lorsqu’elle se tait
un peu de nous retourne à l’état minéral,
sans elle nous errons comme si les futaies
de leurs grands bras feuillus masquaient notre fanal.

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Phan
Phan
21 avril 2022 18:23

« Les Quatres Saisons »de Vivaldi accompagnerait bien ce joli poème

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