Dans leurs yeux toujours un reflet …
La Semois paressait de méandre en méandre …
ils vont sur les sentiers ombreux vivre le reste de leur âge.
Des limbes de l’enfance un banc de brume …
un député européen aussi indigné que moi …
Mettre un visage, une voix, un sourire sur les chiffres glacés des statistiques …
Les jours de splendeur …
J’ai dans la tête un rythme doux …
« un malaise profond qui ne perce à peu près jamais dans les médias » …
Tout ce qui berce ouvre la voie
Toujours les mêmes mots …
Le ciel du soir déchire ses haillons …
j’ai interpellé l’Ordre des Médecins …
La marée du jour qui s’apaise …
La fleur à peine éclose sait-elle ?
Tout à la fin du jour quand le soleil s’endort …
Moulins du monde aux meules rondes de quel grain faites-vous farine ?
Voici que les rosiers s’éveillent …
« En les nourrissant, vous ne faites qu’en attirer d’autres. »
Allons donc savourer les dernières miettes …