Quand la vie s’en ira
nourrir d’autres mortels
elle ne laissera
comme souvenir d’elle
qu’une trace de pas
sur le sable du temps,
qu’un relief de repas
au jardin, par beau temps.
La vie s’en ira-t-elle
me laissant au néant
ou m’emportera-t-elle,
passager fainéant,
vers les horizons bleus
et les étés sans fin
ou le froid nébuleux,
la misère et la faim ?
La vie s’en ira-t-elle,
ou serai-je éternel ?
Quand la vie s’en ira
nourrir d’autres mortels
elle ne laissera
comme souvenir d’elle
qu’une trace de pas
sur le sable du temps,
qu’un relief de repas
au jardin, par beau temps.
La vie s’en ira-t-elle
me laissant au néant
ou m’emportera-t-elle,
passager fainéant,
vers les horizons bleus
et les étés sans fin
ou le froid nébuleux,
la misère et la faim ?
La vie s’en ira-t-elle,
ou serai-je éternel ?
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J’allais dire comme Adrienne ! …
s’il est vrai que « rien ne se crée, rien ne se perd », alors la réponse est oui 😉
mais je préfère penser que nous survivons juste un peu dans le souvenir de ceux qui nous ont connus, ça me suffit comme ‘éternité’ 🙂