Il est nomade et ne le sait qu’après …
Charlotte, tes dix ans,
j’aurais voulu pouvoir
les vivre au temps présent …
Il court il vole il perd son temps …
Trois coups discrets
dans la nuit noire …
Je sais qu’il viendra …
Sous le masque, un sourire,
bienveillant réconfort…
Ce qu’elle dit de moi …
Sept nains, dans mon jardin,
se disputaient.
Le silence rythmé de la marée tranquille
De guerre lasse un jour la vie …
Compagne de soirs de pluie
et de matins givrés,
À l’aurore quand la nuit meurt …
Udendo qualche canzone,
mi viene la voglia
malinconica
di rivivere sere lontane
Le tas de pierres encore a l’air médiéval …
Des poèmes inspirés par mes humeurs et les remous du monde.
Dans le petit matin gelé, un premier pas …
Îles en l’océan fou,
est-ce nous qui voguons
ou l’onde qui bafoue
la paix de nos lagons ?
L’or du silence coule …
Lorsque s’en vient le soir …
La glèbe grasse, à nos pieds lourds
nous rive au sol